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Avant d’entamer le cour portera sur la théorie sémiotique et l’analyse de divers textes, il sera concepts de bases, le plus important a mon avis est la notion de signe et ce qu’il a eu comme retombé sur différents disciplines (philosophique, psychologie, sociologie, entérologie …).
Et plus particulièrement l’étude l’linguistique en générale des langues.
I-                    Le concept a pour origine le mot grec sémion qui veut dire signe, plus tard il sera question de Semiosis qui est l’opération de présupposition réciproque qui s’instituent entre le signifiant SA et le signifier SE et produit les signes.
·         Les trois définitions suivantes :

-          Un signe au sens le plus large désigne un élément A qui représente un autre élément B, ou lui sert de substitue.
-          Le petit robert : définit le signe comme chose perçu qui permet de conclure a l’existence ou a la vérité d’une autre chose a la quelle il est liée.
-          La troisième définition un signe ou représentamen est un premier qui entretient avec un second appelé son objet, une tel véritable relation triadique qu’il est capable de déterminer un troisième appelé un interprétât, pour que celui-ci assume la même relation triadique dudit objet que celle contre le signe et l’objet. (Charles sandres Peirce).

Signe en général
System de signe
Signes linguistique
Signes olfactifs
Signes kinésique
Signes gustatifs / signes auditive
Signes iconiques

Tout le monde est d’accord sur le fait que nous utilisant dans votre vie courante et dans différents situation plusieurs système de signes :

-          Les signes du langage :
Qu’on acquiert dès l’enfance (alphabet et écriture)
-          Les signes non-linguistiques : englobe les signes olfactifs, signes kinésique, signes gustatifs, signes auditives, signes iconiques




Les signes olfactifs :

Se sont les possibilités naturels qu’a l’homme a sentir les odeurs qui perçoit lui permettant de les classifier et de les reconnaitre et de leurs rattacher une signification sociales, idéologiques, culturelles particulières.
L’homme fait la différence entre le bon et le mauvais, le bon est d’origine végétale (fleurs, parfum, nature…).
Le mouvais est d’origine animale corporelle excrémentielle de la sieur…, cela  a pousser l’homme a inventé le parfum qui est une odeur civilisé, socialisé, qui est la pour rejeté l’odeur naturelle de l’individu.   
Le domaine olfactif est important aussi dans la création de l’être humain : c’est le cas du bébé qui est liée avec sa propre mère avec ce soulier la.

Les signes tactiles :

C’est tout ce qui relève du toucher, le système de l’alphabet braille et les tactiles, notre environnement est marqué par le toucher : sensation du froid, du doux, du dure… . Nous avons une relation tactile particulaire avec les objets.

L’unité de signification :

Les fans d’un chanteur qui essai toujours de le toucher est le tactilème.

Les signes gustatifs :

Le premier chercheur a avoir étudier ces signes est l’anthropologue Claude levis Strauss
Qui a parler de l’être humain de la nature a la culture, avec la viande crue a la culture de la viande cuite, il a écrit l’empire des signes, le signe selon lui est l’unité minimale et le Gustave kinésique c’est le cas du langage des sourdes-muets, c’est le cas dans plusieurs domaines gestes des rituels religieux, gestes dans le service militaire… .

Signes iconiques :

Charles sandres Peirce a nommé iconique tout le système de reproduction analogique autre que les systèmes linguistiques tout ce qui relève de l’image.
 Texte :
L’amazone escalada des rochers, se profila une seconde sur la crête, dévala une pente à pic et, sans hésiter, se jeta dans un torrent, les trente chevaux s’élancèrent derrière elle et disparurent dans des tourbillons d’écume ; mais elle avait touché l’autre rive, éperonnait son cheval et reprenait sa course ; vains efforts : ses ravisseurs bondissaient sur ces traces et la serraient de prés. Elle allait être happé par les lassos qui déjà fouettaient l’air au-dessous de sa tête, lorsqu’elle atteignit un pont de fer sous lequel un rapide passait comme une trombe : en un instant, elle eut glissé de selle, enjambé le parapet et sauté dans le vide. Au même instant, la jeune réapparut, debout sur le toit d’un wagon qui l’emportait à toute vitesse échevelée, la jupe au vent, les poings sur les hanches, tandis que du haut du pont les indiens cherchaient en vain à l’ajuster avec leurs carabines.
    R. Martin du Gard
Chapitre 2 : la composante narrative
1) La narrativité.
SS’
Amazone Amazone libre
Poursuite       libre
Nous avons un récit parce que de la situation S à la situation S’. Il y a un changement, une transformation quelque chose qui s’est passé, donc nous avons affaire à un récit. Nous définissons le récit, comme étant la représentation d’un événement.
Un accident de circulation est un événement qui provoque le passage d’un état S (voiture intacte) à un état S’ (voiture endommagée). Cependant l’accident de la circulation n’est pas un récit, il ne le devient que lorsqu’il est représenté, rapporté par quelqu’un, (raconté, filmé, mis en scène) l’histoire le dit TODOROV est une convention, elle n’existe pas au niveau des événements eux-mêmes […]. L’histoire est une abstraction, car elle est toujours perçue racontée par quelqu’un. Elle n’existe pas « en soi » rappelons ceci  Représentation+Événement= Récit                                                                                                              
            Représentation- Événement = description
État initial                                                                               État final
 S                                                                                                 S’
Amazone poursuivie                                                         Amazone libre
Situation initiale               transformation situation finale
        E I            E FIndiens poursuivant transformation     Indiens perdent
L’objet            L’objet
Il y a une action de l’amazone et des indiens.
a)      Découpage en séquence du texte.
Séquence1 : Amazone………………………….torrent                                                                                                                               Séquence2 : les trente………………………….écume                                                                                                                                                 Séquence3 : mais………………………………..efforts                                                 actorialité                                                                                    Séquence4 : ravisseurs…………………………..de prés                                                                                                                               Séquence5 : elle allait………………………….hanchés                                                                                                                      Séquence6 : tandis que…………………..…………fin.
Le critère choisi ici est d’ordre actoriel. Le critère d’actorialité est basé sur la présence ou l’absence de tel personnage ainsi que l’introduction d’un nouveau personnage. Les sujets de l’action sont données alternativement (Amazone/Indiens, Indiens/Amazone, etc.).
Les critères pour segmenter un texte sont de l’ordre de :                                                                                                                        -le dispositif graphique en paragraphe.                                                                                                                                          -des critères spatio-temporels.                                                                                                                                                                       -disjonctions actoriels.                                                                                                                                                                                                 -disjonctions logique manifestées par le texte : ex mais, cependant etc.       
b)     L’énoncée d’état : E.E
Pour définir l’énoncé d’état il faut relier aux notions de sujet et objet. L’énoncé d’état correspond à la relation entre un sujet et un objet cependant le sujet n’est pas un personnage et l’objet n’est pas une chose, ce sont des rôles, des notions qui définissent des positions corrélatives (des rôles actantielle) qui n’existent jamais l’une sans l’autre. Pas de sujet sans un objet auquel il est relié et par rapport auquel se définit. Pas d’objet sans sujet par rapport auquel il se définit.
c)      L’énoncé de faire
C’est ce qui se passe entre l’énoncé d’état et l’énoncé final. Le texte se présente comme une suite d’énoncés d’état et d’énoncé de faire autrement dit, à un moment un état A qui est transformé en un état B. on appelle narrativité le phénomène de succession d’états et de transformations, inscrits dans le discours et responsable de la production du sens.
On appelle analyse narrative le repérage des états et des transformations, et repérage chaque fois de ce qui est différent.
L’analyse narrative
a)      EE
État : ordre de l’être                                                                                                                                                                               transformation : ordre du faire                                                                                                                                           l’énoncé d’état suppose un sujet et un objet                                                                                                                               sujet :amazone               EEI : sujet disjoint que l’on schématise comme suit                                                                                                                   (SvO) que l’intitulera disjonction.                                                                                                                                                                                              Objet : liberté             EEF : sujet conjoint l’objet              (SᴧO)…. Conjonction.                                                           Au début l’amazone était disjointe de l’objet de liberté à la fin elle conjointe à cet objet.                                        Soit une relation de conjonction ᴧsoit une relation de disjonction v

b)     L’énoncé de faire                                                                               
C’est le passage d’un EE à un autre EE.                                                                                                                                             Deux types de transformation se présentent :                                                                                                         transformation de conjonction   (SvO)  (SᴧO)                                                                                                                   transformation de disjonction  (SᴧO)   (SvO)                                                                                                                                                   en ce qui concerne les prunes comptées.
a)      Les programmes narratifs (PN)
Un PN est une suite d’états et de transformations qui s’enchainent sur la base de la relation sujet/objet. Dans le PN, les transformations sont hiérarchisées c’est-à-dire qu’il y a une transformation globale à l’intérieur de laquelle il Y a d’autres transformation, l’enchainement des transformations suit une logique déterminée.                                                                                                                          On appelle un sujet qui part d’un énoncé d’état pour aboutir à des transformations qui aboutissent à un EF un sujet opérateur.                                                                                    
l'analyse narrative reconnait deux types de sujets:
·           le sujet d'état en relation de conjenction ou disjonction avec un objet.
·           le sujet opèrateur en relation avec une performance qu'il réalise, on appel aussi sujet de faire la forumule générale de la transformation narrative s'écrit de la manière suivante :
F (s')      [(SVO)     (SVO)]
F: le faire (faire en sorte)
S: sujet opèrateur (SO)
S: sujet d'état (SE)
D: objet (O)
Ø  La compétence:
C’est la capacité du sujet opérateur, ce sont les conditions nécessaires à la réalisation d’une performance.                                                                                                                                                                                        La performance présuppose la compétence du sujet opérateur. Pour que le sujet fasse quelque chose il faut qu’il le veuille ou qu’il soit obligé de faire. 
Volonté :                                                                                                                                                                                                                                                     + veuille/ obligé : vouloir-faire
                                Devoir-faire
Capacité :                                                                                          les 4 modalités                                                                                        +capacité du sujet : Savoir-faire
                                   Pouvoir-faire            

situation initiale
(SVO)
AUTEUR
amitié du lion
 



(F(S2)    [(SVO)   (SɅO)]
H
amitié du lion
 



Modalité de la virtualité
/DF/ devoir faire
/VF/ vouloir faire


(SF)
(PF)
Situation finale
(SɅO)

·         les choses qui motivent la quête
·         A- nécessité - férocité - monstruosité
·         B- désire de comprendre.


L’objet modal est lié à la compétence                                                                                                                                   L’objet de valeur c’est l’enjeu de la performance     
Ainsi nous pouvons distinguer deux types d’objets : l’objet principal de la transformation ou OV l’élément de compétence nécessaire pour la réalisation de la performance, ou l’objet modal                                              (dénomination qui correspond aux modalités du faire : VF, DF, PF, SF).                                                                         Ces deux types d’objet correspond à deux types de transformations de la performance principale transforme la relation du SE à l’OV et la performance modale (qualification) transforme la relation d’un sujet à l’objet modal. L’acquisition de la compétence peut constituer un PN subordonné au programme principal ; elle peut également couvrir la totalité d’un récit.
PN principale                    performance
PN subordonné                compétence
ü  le Modèle actanciel
v  la manipulation
v  la compétence
v  la performance
v  la sanction


v  La manipulation
On parle de manipulation quand il s’agit de la phrase qui intervient le destinateur comme agent de persuasion. Dans le conte « le merle blanc » c’est le père malade qui sera destinateur par rapport au trois fils pour la recherche de l’objet de valeur.
v  La sanction
c'est de l'ordre de l'évaluation finale c'est le faite de vérifier si la compétence est bien accomplie et si le sujet a bien actualiser la performance principale, c'est une phrase de reconnaissance ou il intervient a ------ le destinataire a la fin du récit mais comme agent d'interprétation.
c'est l'exemple de Patricia lorsqu'elle constate la sanction.
Manipulation
Compréhension
Performance
sanction
Faire-faire
Être-faire
Faire-être
Être de l’être
Relation DE/O
Relation SO/OM
Relation SO/EE/OV
Relation DE/OV
Relation DE/SE
TEXTE : (le grand lion et la petite fille)
Situation initial                                                                          Situation final                                                                    EEI (S V O)                                                                                    EEF (S ᴧ O)
Objet de la quête  Apprivoiser le lion.                                                                                                                            La transformation principale F(S)
Deux choses motivent cette quête

            a)Nécessité : se sauver : figures « terribles, énorme, griffe, gueule…. »
M.V
 b) Désir de découverte : « beauté » : superbe « flot de crinière »

            SF= lui sera convainque par PATRICIA
M.A
            PF= il part avec l’aide de PATRICIA
F(S2) (S1S ᴧO V  S2)  (SᴧO S2)
Patricia amitié   auteur


v  exemple d'analyse
Nous avons au début du récit un sujet « Patricia » qui joue le rôle de destinateur. Elle conjointe à un objet « lion » qui va transmettre à un sujet destinateur « homme ». Donc le PN globale apparait comme un transfert d’objet. Signalons par contre que ce n’est pas le lion autant qu’objet matériel qui est communiqué, mais la valeur« amitié du lion ». Cette valeur quant à elle sera attribuée au destinateur qui restera cependant en conjonction avec le destinateur« Patricia ». Il s’agit d’une communication participative où l’attribution d’un objet au destinataire n’implique pas la renonciation de la part du destinateur« Patricia ». « L’homme »ne reçoit pas immédiatement cet objet de valeur, il doit l’acquérir. Ce que « Patricia »destinateur communique enfaite c’est une mission à accomplir. « L’homme » agit, « Patricia » le fait agir. Ce qui apparait dans les figures suivantes :                                                                                                             /une voie m’ordonna/ j’obéis/ de commandements en commandements/ je fis qu’elle voulait/ puis elle m’ordonna/ je fis comme elle disait/ comment ! Patricia/.                               Ainsi nous voyons la différence entre le rôle du destinateur et celui du sujet. Le sujet agit de manière à transformer un état : il fait être. Le destinateur agit de manière à faire agir un sujet, son action consiste à provoquer l’action du sujet : il fait faire. « Patricia »destinateur vis-à-vis de «l’homme » exerce également ce même rôle vis-à-vis du «lion ». Donc le PN de base sera formulait comme suit :
F (S2) (S1ᴧ O V S3)  (S1ᴧ O ᴧ S3)
« Patricia »assume le rôle du sujet de faire(S2) et sujet d’état(S1), le jeu est identifié au sujet d’état(S3) qui sera conjoint au même titre que « Patricia » à la fin du récit. Donc la performance principale consiste à se conjoindre avec le « lion », autrement dit avoir son amitié : c’est le PN de base. Pour que ce PN puisse se réaliser, il faut un PN d’usage qui se reflète dans l’acquisition des valeurs modales c’est-à-dire de la compétence. À fin d’acquérir cette compétence, le sujet(S3)doit acquérir les modalités vertualisantes à savoir / le vouloir-faire et le devoir-faire/.                                                                                   -Le devoir-faire : lui est commandé par une sorte de crainte et de nécessité dans la mesure où lorsque le « lion » l’avait vu, il ne pouvait plus reculer. La férocité du « lion » apparait dans les figures suivantes :                                                                                                 /terrible/énorme/griffe/gueule/monstrueuse/.                                                                                                                                                                                                              - le vouloir-faire : le sujet est doté dès le point du départ un V.F qui se réalise par la valorisation de l’objet de valeur qui le rend désirable :                                                                                                                                                                                                         /dans sa robe/ le flot de la crinière/ King le roi/.                                                                                                                  Par contre, les modalités actualisantes se réalisent par / le savoir-faire et le pouvoir-faire/.                         Nous avons une sorte de transformation du non savoir-faire présupposé au savoir-faire qui se traduit par les informations sur le comportement à tenir, donné sous forme d’ordre :                                                                    /faite un pas/ encore/ frottez la nuque/.                                                                                                                      La transformation du /non pouvoir-faire et du pouvoir-faire/ : «une étrange torpeur amollissait mes réflexes » au pouvoir-faire : « cette voie était ma seule chance de vie ».                                                                    Pour conclure : Toutes ces transformations sont opérées par « Patricia » qui donne la compétence nécessaire à « l’homme » pour accomplir et acquérir l’objet de valeur « l’amitié du lion ».   


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