fait par : Taha achlouj

Pour les transitifs la base constitue le niveau syntaxique qui se situe le plus près de l’interprétation sémantique d’une phrase, et il doit y’avoir correspondance entre la structure de base et la signification, ils découlent de ceci 4 conclusions :
·         Les phrases a avec des rapports semblables  de concept doivent avoir des structures de base semblables.
·         Il y’aura plus d’une structure de base pour rendre compte des énoncées en apparence ambigus.
·         Parce quelles sont porteuses de significations les unités lexicale font partie de la base.
·         Les traits et les catégories qui indiquent les propriétés syntaxiques peuvent aussi décrire des propriétés sémantiques :   [+ concept] – [+animé]… .
Ø  La composante catégorielle :
Une phrase tel que (Michel appelle véronique) est une phrase construite sur le modèle
 P--- SN---SV.
Ø  La composante lexicale : parallèlement par la présence de la composante catégorielle dans la base en retrouve le lexique par le quel les structures sont actualisées, mais l’emploi du lexique suit lui aussi des règles :
Phrases avec le verbe « courir »
Phrases avec le verbe « marcher »
1-    Richard court souvent

2-    Richard court dans le Park

3-    Richard court les filles

4-    Richard court un danger

5-    Le bruit court les rues
1-    Guy marche souvent

2-    Guy marche dans le Park

3-    Guy marche les filles

4-    Guy marche un danger

5-    Le bruit marche les rues

Les deux verbes [marcher], [courir] partage les même traits lexicaux mais non pas les traits catégoriels, c’est la fonction sujet qui pose problème.
v  Donnez les traits des mots [ colère ] , [ crayon ]
·                Colère : [ - humain ] [ + nom ] [ + commun ] [ + dénombrable ] [ - animé ] [ + abstrait ]
·                Crayon : [ - humain ] [ + nom ] [ + commun ] [ + dénombrable ] [ - animé ] [ - abstrait].

ü  Exemple :
Il m’a   dit   de téléphoner a 2h
P=  Sn – SV - SP
J’ai trouvé la cage vide
P=  SN – SV – [V-SN – ADJ]
J’aime le portrait de Renoir
P=  SN – SV – [V- SP Object / SN – SV (V – SP)
Il a vu manger les cannibales
P=  SN – SV – [V- (manger)-SN]

J’ai vu les cannibales manger
P=  SN – SV – [V- (voir)-SN]
La structure profonde :
Elle est composé des éléments fournis par la composante catégorielle et par le lexique, elle constitue le fondement du modèle transformative car elle contient toutes les indications nécessaire a l’interprétation de la phrase et la production de structures de surface complexes et bien formées.
Au niveau de structure de surface on aura une description des rapports syntaxiques entre les éléments qui constituent la forme finale de la phrase, au niveau de la structure profonde on aura une description des rapports syntaxiques qui permettent l’interprétation sémantique de la phrase.
Exemple :
                    Le boulanger /   cuit le pain
                          [SN]              [SV] – [V – SN2]



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Fait par: Taha achlouj


  • Cercle linguistique de Prague :

Les travaux du CERCLE de PRAGUE ont commencé en 1926. Une vingtaine d’années après l’ouvrage « cours de linguistique général » un groupe de linguistes de l’Europe orientale se réunis dans la ville de Prague, leur but était de réfléchir sur la tradition grammaticale qui régnait à cette époque et dont Saussure se voulait le précurseur. Vers les années 1900-1913, en effet en octobre 1929 à l’université Charles de Prague en conférence sur l’uniformisation syntaxique dans les langues occidentales, le thème de cette conférence présentée par l’Allemand Becker été d’analyser les relations étroites et les ressemblances qui pourrait exister entre des langues qui n’ont entre elle aucun rapport historique ni étymologique. La conférence de Prague voulant étudier les ressemblances syntaxiques qui existent dans certaines langues européenne sans se référer aux facteurs historiques. A cette époque le public universitaire était formé à l’école des néogrammairiens de Leipzig qui a vu le jour au 19ème siècle. L’analyse d’effets linguistiques selon cette école reposait essentiellement sur une interprétation diachronique et étymologique de la langue. L’apport fondamental de la conférence censure cette vision du fait linguistique. Il était pour l’époque(1926) révolutionnaire et très osé de prétendre que l’on pourrait expliquer un fait syntaxique ou lexicologique sans se référer à son origine.

Becker proposait d’analyser le fonctionnement syntaxique de différentes   langues qui n’avaient aucun rapport historique selon un critère purement fonctionnel. Certaines langues par exemple n’avaient aucun rapport étymologique pouvaient avoir certaines ressemblances du fonctionnement syntaxique. La conférence de Becker sera le point de départ d’une série de conférences mensuelles qui vont se tenir à Prague.

 Les principaux linguistes qui étaient à la tête du C. L. PJacobson et surtout Troubetzkoy.

Jacobson avant d’arriver à Prague avait animé le cercle linguistique de Moscow en 1815 .Après la révolution bolchevique il s’était réfugié à Prague où il a pu poursuivre ses travaux linguistiques. De son côté Troubetzkoy appartenait à l’université de Moscow. À la fin de 1926 il écrit à Jacobson la lettre suivante :

<< Nous devons ensemble tenter de combler le fossé contre la nature qui existe malheureusement entre l’analyse synchronique des faits du langage et la phonétique historique, en considèrant chaque changement phonétique d’un mot du point de vue du système global >>. 

Le but premier des chercheurs du C.L.P était de raccorder les points de vue synchroniques et diachroniques. Ainsi c’est dans une optique d’explication diachronique que le C.L.P a commencé ses recherches, il s’agit d’expliquer les raisons logiques qui font que tel mot ou telle catégorie grammaticale à évoluée.

Notons bien que le point de départ du C .L.P n’est comme on le dit trop souvent une volonté d’étudier des phénomènes linguistiques en synchronie, mais au contraire le C.L.P recherche d’abord une explication de l’évolution diachronique logique et rationnelle.

De 1828-1939 Le C.L.P va étudier à Prague une série de travaux publiés en 8 volumes rédigés en français, en allemand et parfois en anglais. L’arrivée de la guerre (deuxième guerre mondiale), la mort de Troubetzkoy en 1938, la fuite de Jacobson en Danemark marque la fin de l’activité du C.L.P..

Les 8 volumes résument l’activité intellectuelle du cercle. Le C.L.P a publié également au début de son existence un manifeste dans lequel il résume les principes théoriques sur lesquelles repose sa conception de la langue.

Le C.L.P ne s’est pas limité à étudier l'aspect oral du langage, mais il a voulu donner une vision générale de la langue. Ce manifeste est connu sous le titre <Thèses du C.L.P> .Ces thèses qui sont au nombre de 9 reprennent les principes idéologiques qui expliquent la démarche linguistique du C.L.P.

Ces thèses résument la pensée collective du groupe. Ils sont  le programme linguistique auquel on devait adhérer et dont en devait reconnaitre la validité pour devenir membre actif du C.L.P .Sur ces 9 thèses les trois premières concernent des problèmes de linguistique générale, les 6 dernières thèses concernent les langues slaves.

Première thèse
A- Problèmes de méthode découlant de la conception de la langue comme système et l’importance de cette conception pour toutes les langues humaines.

La langue pour le C.L.P est un système fonctionnel muni de caractères de finalité.

Les moyens utilisés par une langue le sont toujours en vue d’une fin d’un but.

·       Citations :

« la langue est un système de moyens d’expression approprié a un but ».

« on ne peut comprendre aucun fait de la langue sans avoir reference au système général auquel se fait de langue appartient ».

Le travail du linguiste est donc de rendre compte de l’état de langue actuel (synchronisation) qui offre des matériaux complets sur lesquels il va travailler et dont chaque locuteur a le sentiment direct.

Le C.L.P considère la langue comme un système uni  et ordonné d’éléments rependant a un but et a une fonction.
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l’ancien régime
C’est la période qui s’étal de 1515 début du régime du François premier jusqu'à la grande révolution de 1789, cette période est caractériser par la monarchie absolue c'est-à-dire une période ou le roi cumule tous les pouvoirs.
Féodalité
De 611 à 1515, Il peut délimiter du début de l’état français de 611 à 1515 débuts de la monarchie absolue en aspirant un établissement d’une véritable démocratie.
Les causes de la révolution française
-          Etablissement d’un despotisme éclairé c'est-à-dire que le roi gouverne selon la théorie de séparation des pouvoirs (rejet de la monarchie absolue.
-          A partir de 1789, des compagnes agricoles désastreuses.
-          Une faillite du système économique français (pas d’impôts)
-          Une grande inégalité sociale (seule les roturiers payent les impôts c'est-à-dire seul la classe la plus défavorisé qui paye.
Distinction sociale de l’art par ordre
La noblesse(le clergé, les courtisant) se situe en haut de la classe sociale.
  

Ceux qui payent les impôts
 

-la bourgeoisie
- les tiers d’état

Distinction très inégalitaire, la masse la plus défavorisé paye les impôts, par contre la noblesse est exemptée.
·         Les banqueroutes
Devant la situation de banqueroute luis XiV va être obligé de proclamer la réunion des états généraux pour le 5 mai 1789 afin de trouver une solution a cette problématique (renflouer les caisses de l’état), en réalité cette solution n’aurait pas être envisageable que si les nobles avaient renoncé a leurs privilèges on acceptants de payer les impôts avant la réunion des états généraux pour le 5 mai 1789, les députés devaient se présenter  leurs requêtes.
Comme les états généraux ne trouvaient pas de solution a la généralisation des impôt les députés bourgeois des tiers état vont proclamer une assemblé nationale, qui avait exclu les députés de la noblesse.
Le 9 juillet 1789, l’assemblé national se déclare une assemblé constituante c’est le premier acte acte politique de la révolution, cette assemblé a le droit de légiféré les lois, c’est la fin de la monarchie absolue.
-          Un autre événement qui a marqué la révolution c’est la prise de la bastille le 14-07-1789
Le 04 - 08 – 1789 abolitions des privilèges c’est la fin de la division par ordre de la société -          française, tous les citoyens français sont devenue égaux devant la loi.
-          Le 26 – 08 – 1789 Déclaration des droits de l’homme et du citoyen.
Après la révolution de 1789, la France aspirait à l’établissement d’une monarchie constitutionnelle ou le roi luis XIV ne garderait que l’exécutif, le législatif alloué au parlement (assemblé des révolutionnaires).
La judiciaire revenant aux cours de justice.
Très vite le roi luis XIV va démontrer son refus de la révolution après l’entrée en guerre de la France contre l’Autriche le 20 avril 1792, il s’avère que luis XiV était en relation directe avec le générale Autrichien ? Lorsque ce dernier va intimer l’ordre au révolutionnaires français de rétablir luis XIV dans ces prérogatives sans partage du pouvoir avec eux, la trahison du roi lui XIV devenait évidente, ici commençais a gérer l’idée d’un système républicain en France et c’est ainsi  le 22 septembre 1792 est proclamer la première république en France, Luis XIV sera exécuter et guillotiné.
Le 21janvier 1789



Après la révolution de 1789, la France va traverser une période de terreur, la situation va préconisait le système politique fort et a un homme politique fort, le général Bonaparte a proclamé le 1er consulat en décembre 1799, très vite, il va se proclamer empereur le 02 décembre 1804 Sous le nom de napoléon 1er, c’est le premier empire qui va durer jusqu’a 1815.

La restauration
De 1815 a 1830 retour de la monarchie des bourbons 
Luis XVIII 1814-1824
Charles X 1824-1830
La monarchie de juillet 1830-1848
Après les émeutes de 1830, on passe a la monarchie de juillet avec louis Philipe I, ce dernier ne va guère améliorer la situation des français, et cela va déboucher a la mini révolution de 1848, ce qui va initier a la proclamation de la nouvelle république de 1848 a 1851.
Second république 1848- 1851 Avec luis napoléon Bonaparte.
Second empire : luis napoléon Bonaparte va se proclamer empereur sous le non de napoléon III.
3ème république De 1870 A 1940 ce n’est en réalité qu’avec la restauration de la troisième république que la France va s’orienter vers un véritable régime présidentiel démocratique.
n  Les idéologies politiques du 19ème siècle
La  révolution industrielle ( qui sera traité par la suite n’a pu vraiment se réaliser que grâce a son contexte politique et économique libérale c'est-à-dire grâce a un climat de liberté ou les entrepreneurs peuvent s’adonner librement a leurs projets, c’est ce qu’on appelle aussi la libre entreprise.
Le libéralisme ou le capitalisme est aussi appeler économie du marché.
Il est possible d’affirmer que le capitalisme ne va commencer à être critiquer que a partir de la révolution industriel en effet ce sont les mutations d’une économie artisanale familiale (existence de corporation de métier) a une économie industrialisé o productivités est en compte ce qui va révolutionner le monde de travail et de la société française.
L’industrialisation, la mécanisation, le travail à la chaine vont rendre le travail pénible, celui-ci devant répondre aux exigences de la productivité  de la machine capitaliste, les cadences du travail sont très rapides les ouvriers peuvent payés.
Tout cela va engendrer beaucoup de mécontentement et déboucher sur les idéologies marxistes a fin de contrer le capitalisme.
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Fait par : Taha achlouj

Tout sujet parlant produit et entend des phrases qui n’ont jamais été produites ou entendues précédemment, c’est le caractère génératif du langage les généralistes veulent obtenir compte.
Le modèle génératif veut rendre non seulement des énoncées déjà produite mais également ce qui pourrait être produit on pourrait se représenter métaphoriquement le mécanisme génératif sous l’aspect d’une machine quelconque dont le rôle serait de produire de générer toutes les phrases possibles d’une langue.
Les généralistes proposent que la description du langage soit faite à partir d’’un axiome et d’un ensemble de règles ainsi en utilisant la phrase [ P] comme point de départ et des règles de caractères formels visant à fournir une description structurale de la langue.
Pour résumer en définit la G-G-T comme un mécanisme finit capable de générer un ensemble infini de phrases grammaticales et de leur associer une description structurale.
·        La compétence du locuteur
La G-G-T explique labilité de tout locuteur parlant une langue donnée en étant capable de produire et de comprendre des phrases jamais produites ni entendu ont supposant d’abord l’existence d’un ensemble de connaissances communes à tous les locuteurs placés dans un ou tel environnement linguistique donné, ces connaissances sont activées et permettant à chaque locuteur de se développer une grammaire c'est-à-dire un ensemble de règles et de principe permettant de générer un ensemble infini de phrases bien formées.
Cette grammaire du locuteur représente sa compétence qui péscite de l’intérêt pour la G-G-T et non la mise en œuvre de ses connaissances la manifestation de cette compétence qui se nomme la performance.
La performance est l’activité d’encodage et de décodage proprement dite, les actes de parole
 La composante centrale
Pour les génies l’objet de l’analyse linguistique est de montrer comment s’effectue le lien entre le sens et les sons, il s’agit donc d’avoir une grammaire dans laquelle des différents niveaux d’analyse sont en rapport étroite ces rapports sont explicité par des ensembles de règles qui permettent le passage entre les différents niveaux de représentations.

Pour Chomsky c’est la syntaxe qui constitue le centre de la grammaire et c’est à partir d’elle que les autres composantes peuvent fonctionner.
Le modèle génératif propose qu’partir d’un noble restreint de structures de base et l’application d’un certain nombre de règles syntaxiques et de transformation qu’il est possible de rendre compte de tous les énoncés grammaticaux d’une langue donnée, le fonctionnement du modèle repose donc sur la notion de base et sur celle de règles.
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Fondements du théâtre classique
Les règles fondamentales du théâtre classique :
L’art de plaire                     les milieux mondains
L’art de divertir
La vraisemblance
Les bienséances                  ne pas choquer dans les convenances .les érudits ou les théoriciens  du théâtre classique ont établi des règles :
L’unité d’action
L’unité de temps
L’unité de lieu
L’unité de péril
L’exposition –le nœud –le dénouement – la division en actes et en scènes.
Bibliographie : jacques Scherrer  (la dramaturgie classique en trame chez Nizet)

·        On va travailler sur 2 œuvres : théâtre de racine.
·        Le tartuffe de Molière.
ü Présentation générale du théâtre classique : fondement+règles.
ü Présentation de tartuffe :scène d’exposition
ü Présentation de Phèdre :  
v Scène d’exposition
v scène de l’aveu II ,5
v le dénouement
v le destin dans Phèdre



§   Plan de la pièce théâtrale

§   Exposition (scène 1, acte I)

§   Nœud        II                  obstacles
                   III                  externe
                  IV                   interne
                                        Péripéties
§   Dénouement V, dernière scène.

1. A quoi sert l’exposition ?
« Elle doit instruire du sujet et des principales circonstances, du lieu de la scène et même de l’heure ou commence l’action, du nom, de l’état du caractère et des intérêts de tous les personnages principaux »

2 .le nœud :
Le nœud d’une pièce de théâtre classique est constitué de péripéties, d’obstacles qui retardent ou empêchent les personnages à réaliser le projet et ou l’événement annoncé à l’exposition. Les obstacles peuvent être de deux natures : des obstacles externes ou internes.

3. Le dénouement :
               Il peut être rapide, utile et complet (tous les sorts des personnages doivent être résolus).

La coupure en actes permet de passer d’un événement à un autre.
La coupure en scènes exprime l’entrée ou la sortie d’un personnage.
·         TAF : ** lire la 1ère scène de Tartuffe.
                               ** Lire Phèdre
Les personnages du théâtre classique :
Tragédie :
Le héros /l’héroïne (jeune, beau, malheureux, bien né       principes
                                                                                                         Valeurs
·         Rois, pères, autorité (modèle, exemple), (obstacle, retour à l’ordre)
·         Le confident


 Dans la tragédie, il y’a plus d’actions que dans comédie.

La pièce de Tartuffe est un tableau satirique, une comédie de mœurs, de caractères ….

La didascalie =l’indication scénique d’assoir.
La didascalie permet de savoir dans quel milieu évoluent les personnages.

Analyser de la scène d’exposition de Tartuffe
L’acte I est composé de 5 scènes, les 2 premières permettent de présenter les personnages de la pièce, et elles posent également le problème dû à l’intrusion d’un personnage nommé Tartuffe dans la famille d’Orgon.
La scène 4, l’arrivée d’Orgon   sur scène qui marque l’admiration excessive d’Orgon pour Tartuffe
La scène 5, oppose deux discours, le discours de Cléante raisonneur et modéré au discours d’Orgon, d’une obsession aveugle.
La scène 1 de l’acte I est constituée de 7 personnages .Elle est en elle-même  un petit drame complet, basé sur une querelle familiale qui a commencé avant le levé du rideau, et c’est ce qui fait une exposition en actions.
La scène d’exposition donne des informations sur les personnages, leurs liens familiaux, leur psychologie.
C’est également  une scène qui repose sur une double tension, entre les personnages, une tension entre le vrai et le faux.
On peut considérer que la présence et la colère de Mme Pernelle permet une triple exposition, elle renseigne sur les personnages, elle fournit (informe) des informations sur le drame du moment et enfin elle prépare les tensions majeures à venir.
 Le thème central de la pièce est présenté sous forme d’une querelle familiale opposant aux forces, l’obstination dans l’erreur et la volonté de vérité.
La présentation des personnages :
Le 1er personnage : Dorine est présentée comme servante, mais qui reste un personnage audacieux avec un franc parlé, d’un rang social bas qui dit la vérité  sans aucun enjeu, c’est  le poste parole des autres personnages.
Le 2ème personnage : Damis (entre Damis et son père il y’a un conflit de génération).
Le 3ème personnage : Mariane  , timide , discrète ,hypocrite ….
Le 4ème personnage : Elmire (mauvaise conduite, dépensière, elle donne beaucoup sur son apparence ; elle représente cette bourgeoisie mondaine) .a travers elle, Mme Pernelle fait la critique d’une bourgeoisie mondaine, en lui faisant des reproches sur son mode de vie, sur sa légère, son apparence vestimentaire, ses fréquentations, sa moralité.
 Molière fait une critique des mœurs  de l’époque à travers Mme Pernelle.
Le 5ème personnage (Cléante : un pécheur  de maximes (de discours, un raisonneur modéré).Mme Pernelle le présente comme pécheur de maximes, c'est-à-dire  un homme qui donne des leçons de morale, et qui représente l’honnête homme, le bon sens, le bon jugement. 
Le 6ème personnage : Tartuffe (selon) le personnage  est qualifié différemment, Mme  Pernelle le qualifie « un homme de bien » .Damis « un cagots de critique »,  « tira ». Dorine «critique zélé », « gueux » .
Juste d’après  ces qualifications du personnage, apparaît  les pour Tartuffe, et les contre Tartuffe.
Autre élément à ajouter  pour cette scène, le style et le ton des personnages révèlent et leur psychologie et leurs statut social. C’est ce qui marque la vérité de théâtre. 
Cette scène est présentée par une bouche caractérisée par l’entrée et la sortie brusque de Mme Pernelle, qui montrent le ridicule du personnage.
La particularité de cette scène c’est qu’elle emploie un certain nombre de procédés comiques (comique de mots, comique  de geste….)
La colère de madame Pernelle représente un comique de situation.
Le comique de mots : représenté par les accidents de langage.
Le comique de caractères : dû au ridicule de Mme Pernelle.
Cette scène d’exposition décrit des personnages, des psychologies, décrit un nœud sans pour autant le démêler .Elle  pose la présence de 2 forces irréductibles, celle de la vérité et celle de l’obstination dans l’erreur.








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fait par ; Taha achlouj

Toute phrase tire sa signification de deux sources différentes, le lexique et la grammaire, en parlera donc de signification lexicale et de signification grammaticale, la signification lexicale d’une phrase est celle qui est fournie par les mots porteurs du sens dans la phrase.
L’organisation de la phrase dans le cadre distributif
·         C’est à l’aide de la technique des constituants immédiats que les distribunnalistes étudient la structure de la phrase.

·         Les constituants immédiats
C’est à l’aide de la technique des constituants immédiats que les distribunnalistes étudient la structure de la phrase.
Exemple :
«  Le petit garçon mangeait des pommes »
Les constituants immédiats sont ceux qui ne peuvent être analysés plus avant.
La représentation de la structure de la phrase
Ø  Les angles de Fries
Mangeait  des  pommes
Mange   ait     des   pommes
Le   petit   garçon
Pour fries toutes phrase repose sur une constructive binaire qui se répète sur toute une série de niveaux jusqu’aux constituants indivisible.
La boite de Hockette
Le petit garçon   mangeait des pommes
Le    petit garçon    mangeait    des pommes
Petit    garçon    Mange   ait    des    pommes
Chez hockette séparer une boîte pour ulistrer l’analyse d’un constituant immédiat (C-I), il s’agit toujours du même type d’analyse, et la phrase (boite) est divisé en constituants immédiats selon les différents niveaux d’analyse ainsi les constructions des constituants sont dans des boîtes numérotées.
Avec fries puis hockette en ayant tendance à varier les mots dans une case plutôt que les rapports les plus généraux et les plus intéressants d’une boite a l’autre ---- et Harries propose donc  comme solution d’enlever les mots des cases et de les remplacer par des étiquettes qui tiendront  bien de toutes constructions, de tout constituant.
P
SN
SV
ART
MN
V
SN
ADJ
N
RV
TPS
ART
N

Le modèle distributionnel décrit les éléments de la langue selon leurs environnements et doit nécessairement se référer à un corpus pour établir cet environnement ils sont suivis un modèle de la langue à état fini.
La syntaxe générative transformationnelle
C’est en 1957 avec la publication syntaxique « structures traditionnel française » que Chomsky propose le modèle génératif transformationnel qui suscite un très vif intérêt parce qu’il est présenté comme une théorie pouvant s’appliquer à toutes les langues naturelles, et il propose une méthode de description linguistique qui s’intéresse à la nature du langage et à son fonctionnement, le but du linguiste est d’expliquer ce que signifie connaitre une langue plutôt qu’à décrire des faits observés, -------------------- propose une théorie générative du langage et une  grammaire générative capable de rendre compte de la compétence du locuteur et ayant la syntaxe comme composante principale.
Selon Chomsky il n’est suffisant pour une grammaire d’écrire des sons ensemble d’état de lange, une grammaire doit être fondée sur une hypothèse quand la nature du langage est à son fonctionnement, cette grammaire doit avoir comme but la représentation des rapports entre le son et le sens, seule une théorie intégrer à l’intérieur de là quels les niveaux d’analyse (sémantique, syntaxique, lexicale morphologique, phonologique…)est reliée peut-être acceptable.
Une telle théorie s’applique à toutes les langues, car ces derniers ont un nombre important de points en commun.
 il s’agit là, dû postula …Du langage. Les langes prescrits ses caractéristiques comme une théorie valable des structures linguistiques ne seront ressenties



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