Séance finale
 


L’aventure des  essais de Montaigne par un avertissement aux lecteurs ou Montaigne définit de manière ouverte ces perceptives, il présente son projet d’écriture «  c’est moi que je peins », il sera non seulement l’auteur mais le sujet de son livre.
Son écriture se définit par la loyauté, la vérité et le détachement dans la mesure où il écrit son artifice n’est en moins son livre l’intimiste s’adresse a un certain publique «  ces parents et ces amis » il le souligne « je l’ai voué a la commodité particulière de mes parents et mes amis » est-ce-que cela veut dire qu’il veut attirer un grand publique ? Ou cela voudrai piquer la curiosité d’une grande masse ?
Les essais sont une œuvre de l’intimité, mais aussi de la condition humaine, dans cet extrait Montaigne est pris de vertige face a une connaissance de soi qui ne peut apparaitre qu’impossible et changeante, et par l’écriture il vat essayer de se ressaisir.

1 la fluctuation du moi, il emploi une tournure des phrases et des verbes qui exprime le mouvement antithétique au quel Montaigne est en proie « jeune repas » « cœur lent » « plaisir peine » « rut osé »  « chagrin allégresse ».

2 il met en place l’idée d’une passivité face a des mouvements qui ne dépend pas de lui « corps qui presse l’orteil, la moitié a chevale, la lecture d’un livre », peut ‘on ce connaitre réfléchir sur soi débouche paradoxalement sur un vertige sur une difficulté a ce saisir, il nous donne l’exemple de la lecture et dans l’écriture également, --- de nos opinions rend impossible toutes certitudes.


3 l’inconstante Montaigne remarque que sa propre instabilité apparait, Montaigne enchaine cet argument de l’instabilité en démon, l’instabilité psychique, intellectuel, mais en décrit ce vertige.


Montaigne arrive a le saisir a le comprendre à le décoder a partir de son être physique, psychique et morale.
Aussi dans cet extrait Montaigne parvient a exprimer cette fluctuation qui avec l’écriture des essais devient métrise et domination «  il manie souvent des Re-contre dire » il veut atteindre une vérité, et la pensé humaine soit toujours en évolution.  


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Montaigne
C’est Michel  Eyquem  1533-1592, fils de marchand anobli, il a reçu une éducation humaniste, il a fait des études de droit et de philosophie.
En 1558 il rencontre son ami la Boétie qui lui apprend les vertus du stoïcisme, la Boétie meure à 33ans, Montaigne va vouer sa vie a la réflexion de l’écriture et a l’étude.
 A partir de 1572 il commence la rédaction des essais et il prend la devise de Sénèque : qui suis-je ?
Montaigne fait des voyages en Allemagne, en Italie et il rapporte un journal de voyage, et a partir de la le journal lui d’exercer sa réflexion et sa curiosité.
En 1581 il devient maire de bordeaux sous le règne de Henri 3 et ces dernières années de sa vie, il les passe à  enrichir les essais, cependant cela ne l’empêche pas a participer a la vie politique et publique.
Sa réflexion centrée sur l’individu se nourrit et s’approfondi par le voyage, la connaissance du monde et des événements.
Les essais
Ce sont l’ouvre d’une vie, car le mot « essais » exprime une sorte d’expression de réflexion, mais le mot « essais » au masculin est une enquisse ou une ébauche.
Une œuvre en mouvement diverse, ouverte qui se refuse toute conclusion définitive et qui veut rompre avec les vérités toutes prêtes.
Les essais sont une recherche et non une leçon, c’est une prise de conscience de l’inconstance du monde, ils sont considères comme les premières tentatives de l’autobiographie de la littérature française.
Montaigne nourrit ces essais de sa vie et de son expérience d’homme.
A travers son œuvre Montaigne veut se connaitre et faire a travers lui le portrait mouvais et changent de la condition humaine.
C’est l’œuvre d’une sceptique qui essai de détruire les doctrines intangibles et les certitudes aveugles.
Il s’attaque au dogmatisme religieux  et philosophique, et en plaine guerre de religion il affiche sa tolérance et son aversion pour les luttes fratricides.
Montaigne et l’éducation  
Il préconise une éducation individuelle avec un précepteur ou le dialogue serait les grandes lignes d’une bonne éducation.
-          L’exercice du jugement critique : il faudrait douter de certains principes pour faire ma propre réflexion d’où la citation de Montaigne « une tête bien faite vaut mieux qu’une tête bien plaine ».
-          L’exercice du corps : avoir un corps endurcit, il faut supporter les aléas du climat, le corps est respecté autant que l’esprit, les facultés morale et physiques sont liés entre elles.
-           Un esprit ouvert : pour lui il faut apprendre a observer, a raisonner, a comprendre pour ensuite acquérir une science particulière car l’esprit bien formé peut choisir librement, l’esprit doit être toujours en contacte avec les choses de la vie et toutes les classes de la société.
-          Les voyages : il confronte a la nouveauté et a l’inconnue, Montaigne s’intéresse aux autre peuples a leurs coutumes cherchant a les comprendre et non pas a les juger.
La finalité morale de l’éducation pour Montaigne c’est devenir meilleur, plus sage, opte a connaitre et a choisir sa vérité, être libre d’esprit et de cœur, c’est d’être heureux et chercher a se comprendre soi-même.
Les citations :
«  nous vivons par hasard, qui se connait, connait aussi les autre car chaque homme porte la forme entière de l’humanisme condit ».
« Quand on me contrarie, on éveille mon intention et non pas ma colère ».
«  Notre vie n’est que mouvement ».
« nous pouvant réguler les événements, je me régule moi-même »


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